Pierre vit en région parisienne où il a l’habitude de se déplacer à vélo pour rendre visite à ses clients ou à ses amis. En 2020, ce jeune consultant en informatique décide d’acheter un nouveau cycle et choisit un modèle VTT ultra costaud. Car Pierre n’hésite pas à mettre la main au portefeuille quand il s’agit d’investir dans un équipement de qualité conçu pour durer. “Cela permet aussi de limiter mon impact environnemental”, annonce-t-il. C’est d’ailleurs une philosophie que ce grand sportif applique au quotidien, et notamment pour se vêtir. C’est ainsi que début janvier, Pierre fait l’acquisition d’un jean Bolid’ster. Malheureusement, quelques semaines plus tard, il chute à vélo.
Un baptême du feu pour son nouveau jean, mais pas pour ses jambes, épargnées de brûlures grâce à l’Armalith® contenu dans le pantalon. En voulant consommer mieux et durable, Pierre s’est ainsi également offert un équipement de protection pour faire du vélo, qu’il n’échangerait pour rien au monde.
“En février dernier, je passe la soirée chez un ami à Montreuil. Il est 22 heures passées quand je décide d’enfourcher mon vélo pour rentrer chez moi. Il fait nuit et la rue est déserte. La piste cyclable légèrement surélevée par rapport à la route offre une bonne visibilité. Personne à l’horizon, la voie est dégagée et la météo clémente, alors je décide de me faire plaisir en dévalant la pente à toute vitesse.
C’est la première fois que j’emprunte cette piste qui, je ne le sais pas, se termine par une étrange marche juste avant d’atteindre le rond-point. À l’approche du carrefour, je ralentis, mais ma roue avant butte dans la marche. Je suis alors projeté par-dessus le cadre de mon vélo et glisse sur le bitume. Fort heureusement, aucune voiture ne passe à ce moment-là. Je me relève, sonné par ma pirouette, mais entier, et surtout, ma peau n’a pas été brûlée par le goudron.
À aucun moment je me suis rendu compte que j’allais tomber et n’avais pas vu qu’il y avait cette marche de presque 20 cm en bas de la descente. Je suis surpris qu’une piste cyclable soit ainsi construite, c’est vraiment dangereux et je ne dois pas être le seul à être tombé ici !”
“Comme tout bon parisien, je dispose de mon pass Navigo. Mais je m’en sers peu. Je préfère le vélo qui me fait gagner beaucoup de temps dans mes déplacements. J’utilise donc mon VTT au quotidien et ne sort évidemment jamais sans mon casque. Mais je ne porte pas de gants.
Je roule en jeans, comme la grande majorité des gens à deux-roues. Parce que le jean est un vêtement pratique et agréable à porter, qui permet de rester stylé tout au long de la journée. Le jour de ma chute à vélo, j’avais mis mon nouveau HIP’STER.”
“Fort heureusement non. Malgré ma glissade au sol, je ne me suis pas du tout écorché les jambes, juste un peu les mains. J’ai eu quelques ecchymoses à la hanche et à la jambe droite.
Côté matériel, j’avais choisi du solide qui a bien résisté à la chute. Mon VTT avait déraillé, mais la roue n’était même pas voilée et mon jean n’a pas bougé et ne s’est pas déchiré. Juste une petite trace de frottement sur le tissu au niveau de la poche dans laquelle se trouvaient mes clés, mais aucun trou. Je peux continuer à le porter normalement.”
“J’en avais marre de porter des jeans “junk mode” qui se trouent au bout de quelques mois. J’avais vraiment envie de retrouver la solidité des jeans d’autrefois, ceux que l’on achète et qu’on garde des décennies. À la base, je ne cherchais pas du tout un jean qui protège, je voulais donner du sens à mon achat et désirais trouver un produit durable et respectueux de l’environnement. Et pour cela, j’étais prêt à mettre le prix. J’ai donc fait une recherche sur Internet : “jean le plus solide au monde” et je suis tombé sur la marque BOLID’STER.
Immédiatement séduit par le concept, j’ai acheté un modèle HIP’STER en ligne. Je recommande d’ailleurs de prendre une taille au-dessus de votre taille habituelle pour ne pas avoir de surprise. Et comme j’ai beaucoup aimé la marque, je viens d’aller m’acheter un JEAN’STER au magasin Vintage Motors à La Bastille. Cette fois, j’ai pu l’essayer sur place et ne pas me tromper dans la taille.
Les deux modèles ont une bonne coupe. Même si au début, les jeans bruts sont un peu raides, ils se détendent. Le JEAN’STER a une taille haute qui est confortable. J’aimerais aussi pouvoir trouver chez BOLID’STER une veste dans d’autres coloris que le denim brut afin de pouvoir la porter au quotidien avec mon jean. Ce serait également super d’avoir des gants ou des mitaines en Armalith® !”
“Oh oui, je suis déjà tombé plusieurs fois à vélo. C’est rarement de ma faute, car je suis plutôt prudent quand la circulation est dense. Un jour, c’était aussi à cause d’un problème mécanique, parce que ma roue avant s’est décrochée. Cela m’a servi de leçon et c’est un élément que je vérifie à présent toujours avant de prendre mon vélo.
J’ai aussi chuté à scooter. D’ailleurs, mon genou porte toujours la cicatrice. Car avant de connaître BOLID’STER, je roulais avec des jeans classiques qui ont tous fini déchirés et immettables.
Avec l’Armalith®, j’ai à présent la sensation d’avoir un bouclier sur les jambes qui ne m’empêche ni de courir, ni de pédaler.”
“La marque BOLID’STER s’adresse en premier lieu à des motards, mais les produits qu’elle propose conviennent aussi parfaitement à des cyclistes comme moi.
Au-delà d’un simple vêtement de protection, les gens devraient surtout investir dans cette marque pour son côté durable et écoresponsable, qui va à l’encontre des pantalons jetables et non réparables. En plus, BOLID’STER fabrique ses jeans en Europe, donc c’est un vrai plus. C’est vraiment une boîte qui mérite d’être connue et reconnue.”
Merci Pierre pour ce témoignage qui nous montre l’importance d’être toujours bien équipé quels que soient la vitesse à laquelle on roule et l’engin sur lequel on circule.
Crédits photos : ©Pierre L.
Propos recueillis par Claire Pimenta de Miranda